Qui organise la campagne Rompre le Silence en France et en Suisse Romande ?
3 personnes développent cette initiative dans les pays francophones à titre bénévole en liaison avec les personnes post-abortives des autres pays. Il s’agit d’Anne-Hélène Frustié dans les Yvelines et de Michel et Catherine Hermenjat basés à Lausanne.
Cette campagne de sensibilisation sur les risques et la guérison post-avortement n’a pas de but légal ou politique.
Nous sommes là pour vous, REJOIGNEZ NOUS. (cliquez sur la photo ou le nom pour lire la biographie)
Anne-Hélène Frustié |
Catherine et Michel Hermenjat |
Anne-Hélène a eu une IVG en 1979 à 18 ans. 16 ans plus tard en 1995, elle a commencé un processus de guérison, de restauration et de réconciliation. Ce processus l’a l’amené à participer et à animer différents programmes de guérison post-avortement lors d’un congé parental de 7 années pris pour suivre son mari pour un poste aux Etats-Unis. Ces différents programmes lui ont permis de guérir totalement des symptômes post-traumatiques très graves liés à son IVG, symptômes ayant explosé entre 9 et 16 ans après son IVG. Diagnostiquée en 1990 avec une maladie incurable, le lien des symptômes avec l’IVG n’ayant pas été fait, elle a pu faire constater à son retour en France sa guérison aux médecins français. Elle a aussi amené en France les programmes qui lui avaient permis de retrouver la pleine santé pour qu’ils puissent bénéficier à tous ceux et celles qui comme elles souffrent après une IVG passée. Elle est diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et travaille dans une entreprise française. Mariée et mère de 4 enfants, elle a choisit de rompre le silence sous son nom de jeune fille, son avortement ayant eu lieu 10 ans avant la rencontre avec son mari.